Le maillage du service social et de santé à été déconstruit petit à petit il y a plus de 20 ans. Les travailleurs sociaux de quartiers, éducateurs de rues, maisons de quartiers puis « grands frères », la prise en charge psychiatrique extra-hospitalière devenue le parent pauvre de la médecine publique. Tout cela conduit à la déshérence générale, à la violence, au désespoir des jeunes et des familles laissées sur le carreau. J’accuse particulièrement les socialauds d’avoir désespéré la jeunesse comme le disait si bien J.P. Sartre en 68 en s’adressant à la bourgeoisie « Il ne faut pas désespérer Billancourt ». La bourgeoisie solfériniènne l’a fait et continue. Ils en portent l’immense responsabilité avec toutes les conséquences terribles !
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